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Sur un toit

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casanova
Sur un toit
Il y a 20 ans
POEME ECRIT SUR UN TOIT



Le soleil darde de ses rayons pâlissants,

D’une lumière d’or, les feuillages agonisants

Des arbres quelque peu, encore vivants.

Ils vont de plus en plus se dénudants.

Désormais à la morte saisons ils vont se préparant.

En cette journée finissante

Les façades des maisons,

Aux volets désormais clos,

Se colorent d’une teinte rougeoyante.

Façades ornées de mille diversités,

Qui occultent tant de tristes réalités !

Au loin le clocher se dresse majestueux

Avec comme toile de fond

Ce spectacle merveilleux

Qu’est la ligne d’horizon.

J’ai beau laissé traîner mon temps

Vite il passe pourtant !

De la plus tendre adolescence

À l’age de l’insouciance.

Il n’a fait que se traîner,

Il semblait ne vouloir passer.

Depuis avec le passer des années,

L’horloge s’est accélérée.

Le demi-siècle vient alors à sonner

Et les feuilles commencent à tomber.

Du temps l’on voudrait freiner les aiguilles,

Mais il file telle, enter les mains, une anguille

On a beau se procèsser

Celui qui a eu a eu

Celui qui a donné a donné

Jusqu’à la lie il faudra boire

De l’astringente vinasse OU un grand cru !

La vie est une foire

Égayée par tant de gens qui ne font que passer

Éclairée par mille feux de Beingale O combien éphémères

A-t-il été plus beau de donner

Que de recevoir ?

Si tant de fois on en est arrivé,

A ne plus pouvoir s’asseoir……..




atina2
Re :Sur un toit
Il y a 20 ans
je reste sans voix !!! et j'suis sur le Q !!! je peux encore m'asseoir ......
A+++
Atina

----- casanova a écrit -----

POEME ECRIT SUR UN TOIT



Le soleil darde de ses rayons pâlissants,

D’une lumière d’or, les feuillages agonisants

Des arbres quelque peu, encore vivants.

Ils vont de plus en plus se dénudants.

Désormais à la morte saisons ils vont se préparant.

En cette journée finissante

Les façades des maisons,

Aux volets désormais clos,

Se colorent d’une teinte rougeoyante.

Façades ornées de mille diversités,

Qui occultent tant de tristes réalités !

Au loin le clocher se dresse majestueux

Avec comme toile de fond

Ce spectacle merveilleux

Qu’est la ligne d’horizon.

J’ai beau laissé traîner mon temps

Vite il passe pourtant !

De la plus tendre adolescence

À l’age de l’insouciance.

Il n’a fait que se traîner,

Il semblait ne vouloir passer.

Depuis avec le passer des années,

L’horloge s’est accélérée.

Le demi-siècle vient alors à sonner

Et les feuilles commencent à tomber.

Du temps l’on voudrait freiner les aiguilles,

Mais il file telle, enter les mains, une anguille

On a beau se procèsser

Celui qui a eu a eu

Celui qui a donné a donné

Jusqu’à la lie il faudra boire

De l’astringente vinasse OU un grand cru !

La vie est une foire

Égayée par tant de gens qui ne font que passer

Éclairée par mille feux de Beingale O combien éphémères

A-t-il été plus beau de donner

Que de recevoir ?

Si tant de fois on en est arrivé,

A ne plus pouvoir s’asseoir……..




valjelaur
Re :Sur un toit
Il y a 20 ans

bravo.
mais attends, tout va s'accélérer, les années passant les jours vont défiler de + en + vite.
bonne journée.
val.


----- atina2 a écrit -----

je reste sans voix !!! et j'suis sur le Q !!! je peux encore m'asseoir ......
A+++
Atina

----- casanova a écrit -----

POEME ECRIT SUR UN TOIT



Le soleil darde de ses rayons pâlissants,

D’une lumière d’or, les feuillages agonisants

Des arbres quelque peu, encore vivants.

Ils vont de plus en plus se dénudants.

Désormais à la morte saisons ils vont se préparant.

En cette journée finissante

Les façades des maisons,

Aux volets désormais clos,

Se colorent d’une teinte rougeoyante.

Façades ornées de mille diversités,

Qui occultent tant de tristes réalités !

Au loin le clocher se dresse majestueux

Avec comme toile de fond

Ce spectacle merveilleux

Qu’est la ligne d’horizon.

J’ai beau laissé traîner mon temps

Vite il passe pourtant !

De la plus tendre adolescence

À l’age de l’insouciance.

Il n’a fait que se traîner,

Il semblait ne vouloir passer.

Depuis avec le passer des années,

L’horloge s’est accélérée.

Le demi-siècle vient alors à sonner

Et les feuilles commencent à tomber.

Du temps l’on voudrait freiner les aiguilles,

Mais il file telle, enter les mains, une anguille

On a beau se procèsser

Celui qui a eu a eu

Celui qui a donné a donné

Jusqu’à la lie il faudra boire

De l’astringente vinasse OU un grand cru !

La vie est une foire

Égayée par tant de gens qui ne font que passer

Éclairée par mille feux de Beingale O combien éphémères

A-t-il été plus beau de donner

Que de recevoir ?

Si tant de fois on en est arrivé,

A ne plus pouvoir s’asseoir……..




gilles35
Re :Sur un toit
Il y a 20 ans
Salut Casanova,

et pourquoi pas un poéme disant que tu es content d'avoir 50 ans et d'avoir connu tout ça!!! Tout le monde n'a pas cette chance!!!! Moi qui vait avoir 50 ans cette année, tu veux me mettre le moral à zéro :-))))
Gilles
POEME ECRIT SUR UN TOIT



Le soleil darde de ses rayons pâlissants,

D’une lumière d’or, les feuillages agonisants

Des arbres quelque peu, encore vivants.

Ils vont de plus en plus se dénudants.

Désormais à la morte saisons ils vont se préparant.

En cette journée finissante

Les façades des maisons,

Aux volets désormais clos,

Se colorent d’une teinte rougeoyante.

Façades ornées de mille diversités,

Qui occultent tant de tristes réalités !

Au loin le clocher se dresse majestueux

Avec comme toile de fond

Ce spectacle merveilleux

Qu’est la ligne d’horizon.

J’ai beau laissé traîner mon temps

Vite il passe pourtant !

De la plus tendre adolescence

À l’age de l’insouciance.

Il n’a fait que se traîner,

Il semblait ne vouloir passer.

Depuis avec le passer des années,

L’horloge s’est accélérée.

Le demi-siècle vient alors à sonner

Et les feuilles commencent à tomber.

Du temps l’on voudrait freiner les aiguilles,

Mais il file telle, enter les mains, une anguille

On a beau se procèsser

Celui qui a eu a eu

Celui qui a donné a donné

Jusqu’à la lie il faudra boire

De l’astringente vinasse OU un grand cru !

La vie est une foire

Égayée par tant de gens qui ne font que passer

Éclairée par mille feux de Beingale O combien éphémères

A-t-il été plus beau de donner

Que de recevoir ?

Si tant de fois on en est arrivé,

A ne plus pouvoir s’asseoir……..





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