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casanova | le travail Il y a 15 ans |
le travail c'est la santé...vivez la maladie a la mia amica Pierre-la luna L’AMOUR AVEC UN GRAND A C’est toujours le même dilemme Le sombre éternel problème La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines, Et ses joies conter. Aimer et se savoir aimer Une chose a qui dire je t’aime Cette chose qui fait chaud au cœur Ce havre de paix et de bonheur Et qu’on ne sait nommer, O il y a bien les rêves Mais ils partent en fumées Même si ils sont provoqués. Pourtant de songer on a de trêve. La réalité est autre N’émane qu’une fade tiédeur De notre entourage de faux apôtres Qui siégent à la périphérie de notre cœur. Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié Ou d’une étroite familiarité Ils sont sourds aux cris Qui émanent des abîmes de l’âme Croyant que la vie ne nous souris Du fait d’être on se blâme. Ils ne savent de quelle force On est capable d’aimer Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser Mais nul ne vient briser l’écorce Qui emprisonne la puissance de nos sentiments On a beau implorer le firmament L’Amour avec un grand A ? On fini par croire qu’il n’existe pas. Il y a les aventures d’un soir Mais elles sont encore plus riches de désespoirs La froideur d’une maison vide La monotonie d’un lit glacé Des mets chauffer à même le sou vide Ne savoir comment le temps tuer Tel est l’apport de la solitude Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude. Tous ce gestes fait avec répétitivité Qui avec le temps deviennent lascivité. Plus rien ne suscite l’émoi On se replie en soi. Tout devient noir L’esprit est cannibalisé par le cafard Jusqu'à perdre le goût de vivre Ce que l’on est ne fait que survivre. Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir Un jour ou une nuit, un matin comme un soir En tout lieu et a toute heure Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur. que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même! BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu? des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs! |
marie03 | Re :le travail Il y a 15 ans |
Si tu veux remonter le moral à Pierre de lune, faut changer de disque Casa Tes poèmes, s'ils sont très beaux, donnent le bourdon Par contre, j'aime bien la façon de voir le travail de ton chien... Vive la sieste !!! Bon courage à toi, mais je sais que tu arriveras à te débarrasser de l'herbe en trois coups de cuiller à pot !! ----- casanova a écrit ----- le travail c'est la santé...vivez la maladie a la mia amica Pierre-la luna L’AMOUR AVEC UN GRAND A C’est toujours le même dilemme Le sombre éternel problème La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines, Et ses joies conter. Aimer et se savoir aimer Une chose a qui dire je t’aime Cette chose qui fait chaud au cœur Ce havre de paix et de bonheur Et qu’on ne sait nommer, O il y a bien les rêves Mais ils partent en fumées Même si ils sont provoqués. Pourtant de songer on a de trêve. La réalité est autre N’émane qu’une fade tiédeur De notre entourage de faux apôtres Qui siégent à la périphérie de notre cœur. Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié Ou d’une étroite familiarité Ils sont sourds aux cris Qui émanent des abîmes de l’âme Croyant que la vie ne nous souris Du fait d’être on se blâme. Ils ne savent de quelle force On est capable d’aimer Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser Mais nul ne vient briser l’écorce Qui emprisonne la puissance de nos sentiments On a beau implorer le firmament L’Amour avec un grand A ? On fini par croire qu’il n’existe pas. Il y a les aventures d’un soir Mais elles sont encore plus riches de désespoirs La froideur d’une maison vide La monotonie d’un lit glacé Des mets chauffer à même le sou vide Ne savoir comment le temps tuer Tel est l’apport de la solitude Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude. Tous ce gestes fait avec répétitivité Qui avec le temps deviennent lascivité. Plus rien ne suscite l’émoi On se replie en soi. Tout devient noir L’esprit est cannibalisé par le cafard Jusqu'à perdre le goût de vivre Ce que l’on est ne fait que survivre. Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir Un jour ou une nuit, un matin comme un soir En tout lieu et a toute heure Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur. que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même! BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu? des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs! |
bea5988 | Re :le travail Il y a 15 ans |
Tu manies aussi bien les mots que les pinceaux........ Casanova : l'ART sous toutes ses facettes ! Pour ce qui est de tes mails, hélas non, je ne les reçois pas, je t'ai remis mon adresse dans un message sur ton site, tu pourras contrôler. bisous Béa ----- casanova a écrit ----- le travail c'est la santé...vivez la maladie a la mia amica Pierre-la luna L’AMOUR AVEC UN GRAND A C’est toujours le même dilemme Le sombre éternel problème La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines, Et ses joies conter. Aimer et se savoir aimer Une chose a qui dire je t’aime Cette chose qui fait chaud au cœur Ce havre de paix et de bonheur Et qu’on ne sait nommer, O il y a bien les rêves Mais ils partent en fumées Même si ils sont provoqués. Pourtant de songer on a de trêve. La réalité est autre N’émane qu’une fade tiédeur De notre entourage de faux apôtres Qui siégent à la périphérie de notre cœur. Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié Ou d’une étroite familiarité Ils sont sourds aux cris Qui émanent des abîmes de l’âme Croyant que la vie ne nous souris Du fait d’être on se blâme. Ils ne savent de quelle force On est capable d’aimer Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser Mais nul ne vient briser l’écorce Qui emprisonne la puissance de nos sentiments On a beau implorer le firmament L’Amour avec un grand A ? On fini par croire qu’il n’existe pas. Il y a les aventures d’un soir Mais elles sont encore plus riches de désespoirs La froideur d’une maison vide La monotonie d’un lit glacé Des mets chauffer à même le sou vide Ne savoir comment le temps tuer Tel est l’apport de la solitude Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude. Tous ce gestes fait avec répétitivité Qui avec le temps deviennent lascivité. Plus rien ne suscite l’émoi On se replie en soi. Tout devient noir L’esprit est cannibalisé par le cafard Jusqu'à perdre le goût de vivre Ce que l’on est ne fait que survivre. Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir Un jour ou une nuit, un matin comme un soir En tout lieu et a toute heure Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur. que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même! BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu? des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs! |
m.lamour | Re :le travail Il y a 15 ans |
j'ai lu ton post déstiné à bea et je voulais te dire bravo car je sais.... que c'est dur de décrocher, pour avoir vécu une expérience similaire avec un de mes "très proches" c'était pas de lherbe mais du "liquide" le premier pas c'est de dire je veux arrêter ça apparemment tu l'as dit ensuite c'est l'aide de ses proches si tu te sens pas soutenu c'est beaucoup plus dur si t'es tout seul devant ton "problème" faut encore plus t'accrocher, faut en parler apparemment ça tu sais faire ne pas s'enfermer dans son "problème" le partager mais attention pas avec n'importe qui, et crois moi dans ce cas c'est là que tu vois tes vrais amis... courage casa penses à ceux qui t'aime ils t'en donneront ----- casanova a écrit ----- le travail c'est la santé...vivez la maladie a la mia amica Pierre-la luna L’AMOUR AVEC UN GRAND A C’est toujours le même dilemme Le sombre éternel problème La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines, Et ses joies conter. Aimer et se savoir aimer Une chose a qui dire je t’aime Cette chose qui fait chaud au cœur Ce havre de paix et de bonheur Et qu’on ne sait nommer, O il y a bien les rêves Mais ils partent en fumées Même si ils sont provoqués. Pourtant de songer on a de trêve. La réalité est autre N’émane qu’une fade tiédeur De notre entourage de faux apôtres Qui siégent à la périphérie de notre cœur. Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié Ou d’une étroite familiarité Ils sont sourds aux cris Qui émanent des abîmes de l’âme Croyant que la vie ne nous souris Du fait d’être on se blâme. Ils ne savent de quelle force On est capable d’aimer Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser Mais nul ne vient briser l’écorce Qui emprisonne la puissance de nos sentiments On a beau implorer le firmament L’Amour avec un grand A ? On fini par croire qu’il n’existe pas. Il y a les aventures d’un soir Mais elles sont encore plus riches de désespoirs La froideur d’une maison vide La monotonie d’un lit glacé Des mets chauffer à même le sou vide Ne savoir comment le temps tuer Tel est l’apport de la solitude Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude. Tous ce gestes fait avec répétitivité Qui avec le temps deviennent lascivité. Plus rien ne suscite l’émoi On se replie en soi. Tout devient noir L’esprit est cannibalisé par le cafard Jusqu'à perdre le goût de vivre Ce que l’on est ne fait que survivre. Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir Un jour ou une nuit, un matin comme un soir En tout lieu et a toute heure Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur. que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même! BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu? des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs! |
manuela | Re :le travail Il y a 15 ans |
Ton poème Casanova et bien je l'ai imprimé et je compte le garder. J'aimerais beaucoup avoir l'adresse de ton site. Comme je ne suis pas tout le temps sur Superart je pense avoir loupé le post où tu l'avais mis. ----- casanova a écrit ----- le travail c'est la santé...vivez la maladie a la mia amica Pierre-la luna L’AMOUR AVEC UN GRAND A C’est toujours le même dilemme Le sombre éternel problème La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines, Et ses joies conter. Aimer et se savoir aimer Une chose a qui dire je t’aime Cette chose qui fait chaud au cœur Ce havre de paix et de bonheur Et qu’on ne sait nommer, O il y a bien les rêves Mais ils partent en fumées Même si ils sont provoqués. Pourtant de songer on a de trêve. La réalité est autre N’émane qu’une fade tiédeur De notre entourage de faux apôtres Qui siégent à la périphérie de notre cœur. Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié Ou d’une étroite familiarité Ils sont sourds aux cris Qui émanent des abîmes de l’âme Croyant que la vie ne nous souris Du fait d’être on se blâme. Ils ne savent de quelle force On est capable d’aimer Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser Mais nul ne vient briser l’écorce Qui emprisonne la puissance de nos sentiments On a beau implorer le firmament L’Amour avec un grand A ? On fini par croire qu’il n’existe pas. Il y a les aventures d’un soir Mais elles sont encore plus riches de désespoirs La froideur d’une maison vide La monotonie d’un lit glacé Des mets chauffer à même le sou vide Ne savoir comment le temps tuer Tel est l’apport de la solitude Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude. Tous ce gestes fait avec répétitivité Qui avec le temps deviennent lascivité. Plus rien ne suscite l’émoi On se replie en soi. Tout devient noir L’esprit est cannibalisé par le cafard Jusqu'à perdre le goût de vivre Ce que l’on est ne fait que survivre. Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir Un jour ou une nuit, un matin comme un soir En tout lieu et a toute heure Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur. que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même! BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu? des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs! |
casanova | Re :le travail Il y a 15 ans |
Manuella..AAAH une connaisseuse en vérités. voila l'adresse ....http://casanova.forumactif.com Bea..8 mails me sont encore revenus, j'envois sur orange est ce bien cela? Martine, arreter, il suffit de le vouloir pour le pouvoir oui c'est bien beau mais ce n'est jamais qu'une phrase,avant tout il faut se préparer phychologiquement comme un boxeur avant le combat, un fois le premier round commencer on se rend tres vite compte d'etre seul contre soi même et ça c'est un des combats les plus dur,clou de cerceuil, bibine, et maintenant le gazon jamaicain (pour finir il ne me restera plus rien) personnage de touit les excès, je parvient tout de même a me rendre compte que tout les noeuds un jour ou l'autre viendront au peigne, et puis c'est un grande satisfaction personnelle que de gagner ces luttes contre soi.. mais surtout SURTOUT ne pas retomber c'est ça le principal.. Marie, pessimiste de nature et intèrieurement plus noir que le charbon, j'ai toujours soigné le mal par le mal c'est de loin plus efficasse que l'eau de rose, je n'essaye pas de remonter le moral a pierre-la-lune mais de lui démontrer qu'il y en a d'autre qui vivent dans les abimes de la plus apres des noirceurs, lorsque l'on voit qu'il y a bien pire que soi, c'est un bien maigre lot de consolation, mais ça fait réfléchir et ça peu soulager. pour se sortir de quelque mauvais pas que ce soit il ne faut compter que sur soi autrui peu étre une béquille de secour mais il faudra remarcher de ses propres pas un jour ou l'autre. aller hop un autre pour Manuella, qui je le sens a bien perçus toutes les allusions qui se dissimulent entre mes phrases. et pour ne pas changer Marie...toujours aussi noir...c'est du Casanova, l'écorché vif clownesque. LES AMOURS MODERNES L’évolutivité de la vie moderne Ne met-elle l’affectivité en berne. Que de couple, a se former ne cherchent, Pour peu après se perdre. Est-il devenu si mal aisé de trouver UN être avec un semblant de sincérité ? Enivrer par la nouvelle tripaille, Vite on est dégrisé par le revers de la médaille. Au début rattrapant le temps perdu Que de septième ciel n’ont-ils connus ? Mais la répétitivité, engendre la lascivité. L’habitude n’étant un éternel début Lorsque les atouts ont disparus Cartes sur table il va falloir jouer. On s’étonne alors que par une sangsue l’égide aie été trouée Ou par trop d’abusivité, l’escarcelle ait été vidée. Il aurait mieux valu, encore une fois, jouer la méfiance Plutôt qu’à une espérance faire confiance ! De bien des maux on s’est cru soulager On en ressort encore plus blessé… L’un à l’autre se croira supérieur Bientôt il emménagera à l’étage inférieur. Les amours rafistollées Ne sont certes l’idylle tant rêvée Elles révèlent souvent un ou plusieurs enfants Ou des comptes bancaires bien saignants. Pour les nymphes ; nul apollon n’est chaussures à leurs pieds Pour les Apollon, aucune nymphe plus ne leur sied. Les amours nouvelles sont trop volubiles À trop n’occulter son ressentir On se fait passer pour débile ! Dans le dos que ne doivent-ils rire, Quand l’intérieur fait tant souffrir. En amitié comme en amour Dans le besoin les cœurs deviennent sourds. Plutôt que de vouloir tordre es cous, N’en omettons que dépouillé de sa dermatique gabardine Le corps humain n’est qu’une outre a merde et à urine ! Rendons nous en compte et il y aura ………moins de fous ! ----- manuela a écrit ----- Ton poème Casanova et bien je l'ai imprimé et je compte le garder. J'aimerais beaucoup avoir l'adresse de ton site. Comme je ne suis pas tout le temps sur Superart je pense avoir loupé le post où tu l'avais mis. ----- casanova a écrit ----- le travail c'est la santé...vivez la maladie a la mia amica Pierre-la luna L’AMOUR AVEC UN GRAND A C’est toujours le même dilemme Le sombre éternel problème La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines, Et ses joies conter. Aimer et se savoir aimer Une chose a qui dire je t’aime Cette chose qui fait chaud au cœur Ce havre de paix et de bonheur Et qu’on ne sait nommer, O il y a bien les rêves Mais ils partent en fumées Même si ils sont provoqués. Pourtant de songer on a de trêve. La réalité est autre N’émane qu’une fade tiédeur De notre entourage de faux apôtres Qui siégent à la périphérie de notre cœur. Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié Ou d’une étroite familiarité Ils sont sourds aux cris Qui émanent des abîmes de l’âme Croyant que la vie ne nous souris Du fait d’être on se blâme. Ils ne savent de quelle force On est capable d’aimer Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser Mais nul ne vient briser l’écorce Qui emprisonne la puissance de nos sentiments On a beau implorer le firmament L’Amour avec un grand A ? On fini par croire qu’il n’existe pas. Il y a les aventures d’un soir Mais elles sont encore plus riches de désespoirs La froideur d’une maison vide La monotonie d’un lit glacé Des mets chauffer à même le sou vide Ne savoir comment le temps tuer Tel est l’apport de la solitude Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude. Tous ce gestes fait avec répétitivité Qui avec le temps deviennent lascivité. Plus rien ne suscite l’émoi On se replie en soi. Tout devient noir L’esprit est cannibalisé par le cafard Jusqu'à perdre le goût de vivre Ce que l’on est ne fait que survivre. Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir Un jour ou une nuit, un matin comme un soir En tout lieu et a toute heure Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur. que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même! BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu? des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs! |
manuela | Re :le travail Il y a 15 ans |
Merci Casanova ----- casanova a écrit ----- Manuella..AAAH une connaisseuse en vérités. voila l'adresse ....http://casanova.forumactif.com Bea..8 mails me sont encore revenus, j'envois sur orange est ce bien cela? Martine, arreter, il suffit de le vouloir pour le pouvoir oui c'est bien beau mais ce n'est jamais qu'une phrase,avant tout il faut se préparer phychologiquement comme un boxeur avant le combat, un fois le premier round commencer on se rend tres vite compte d'etre seul contre soi même et ça c'est un des combats les plus dur,clou de cerceuil, bibine, et maintenant le gazon jamaicain (pour finir il ne me restera plus rien) personnage de touit les excès, je parvient tout de même a me rendre compte que tout les noeuds un jour ou l'autre viendront au peigne, et puis c'est un grande satisfaction personnelle que de gagner ces luttes contre soi.. mais surtout SURTOUT ne pas retomber c'est ça le principal.. Marie, pessimiste de nature et intèrieurement plus noir que le charbon, j'ai toujours soigné le mal par le mal c'est de loin plus efficasse que l'eau de rose, je n'essaye pas de remonter le moral a pierre-la-lune mais de lui démontrer qu'il y en a d'autre qui vivent dans les abimes de la plus apres des noirceurs, lorsque l'on voit qu'il y a bien pire que soi, c'est un bien maigre lot de consolation, mais ça fait réfléchir et ça peu soulager. pour se sortir de quelque mauvais pas que ce soit il ne faut compter que sur soi autrui peu étre une béquille de secour mais il faudra remarcher de ses propres pas un jour ou l'autre. aller hop un autre pour Manuella, qui je le sens a bien perçus toutes les allusions qui se dissimulent entre mes phrases. et pour ne pas changer Marie...toujours aussi noir...c'est du Casanova, l'écorché vif clownesque. LES AMOURS MODERNES L’évolutivité de la vie moderne Ne met-elle l’affectivité en berne. Que de couple, a se former ne cherchent, Pour peu après se perdre. Est-il devenu si mal aisé de trouver UN être avec un semblant de sincérité ? Enivrer par la nouvelle tripaille, Vite on est dégrisé par le revers de la médaille. Au début rattrapant le temps perdu Que de septième ciel n’ont-ils connus ? Mais la répétitivité, engendre la lascivité. L’habitude n’étant un éternel début Lorsque les atouts ont disparus Cartes sur table il va falloir jouer. On s’étonne alors que par une sangsue l’égide aie été trouée Ou par trop d’abusivité, l’escarcelle ait été vidée. Il aurait mieux valu, encore une fois, jouer la méfiance Plutôt qu’à une espérance faire confiance ! De bien des maux on s’est cru soulager On en ressort encore plus blessé… L’un à l’autre se croira supérieur Bientôt il emménagera à l’étage inférieur. Les amours rafistollées Ne sont certes l’idylle tant rêvée Elles révèlent souvent un ou plusieurs enfants Ou des comptes bancaires bien saignants. Pour les nymphes ; nul apollon n’est chaussures à leurs pieds Pour les Apollon, aucune nymphe plus ne leur sied. Les amours nouvelles sont trop volubiles À trop n’occulter son ressentir On se fait passer pour débile ! Dans le dos que ne doivent-ils rire, Quand l’intérieur fait tant souffrir. En amitié comme en amour Dans le besoin les cœurs deviennent sourds. Plutôt que de vouloir tordre es cous, N’en omettons que dépouillé de sa dermatique gabardine Le corps humain n’est qu’une outre a merde et à urine ! Rendons nous en compte et il y aura ………moins de fous ! ----- manuela a écrit ----- Ton poème Casanova et bien je l'ai imprimé et je compte le garder. J'aimerais beaucoup avoir l'adresse de ton site. Comme je ne suis pas tout le temps sur Superart je pense avoir loupé le post où tu l'avais mis. ----- casanova a écrit ----- le travail c'est la santé...vivez la maladie a la mia amica Pierre-la luna L’AMOUR AVEC UN GRAND A C’est toujours le même dilemme Le sombre éternel problème La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines, Et ses joies conter. Aimer et se savoir aimer Une chose a qui dire je t’aime Cette chose qui fait chaud au cœur Ce havre de paix et de bonheur Et qu’on ne sait nommer, O il y a bien les rêves Mais ils partent en fumées Même si ils sont provoqués. Pourtant de songer on a de trêve. La réalité est autre N’émane qu’une fade tiédeur De notre entourage de faux apôtres Qui siégent à la périphérie de notre cœur. Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié Ou d’une étroite familiarité Ils sont sourds aux cris Qui émanent des abîmes de l’âme Croyant que la vie ne nous souris Du fait d’être on se blâme. Ils ne savent de quelle force On est capable d’aimer Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser Mais nul ne vient briser l’écorce Qui emprisonne la puissance de nos sentiments On a beau implorer le firmament L’Amour avec un grand A ? On fini par croire qu’il n’existe pas. Il y a les aventures d’un soir Mais elles sont encore plus riches de désespoirs La froideur d’une maison vide La monotonie d’un lit glacé Des mets chauffer à même le sou vide Ne savoir comment le temps tuer Tel est l’apport de la solitude Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude. Tous ce gestes fait avec répétitivité Qui avec le temps deviennent lascivité. Plus rien ne suscite l’émoi On se replie en soi. Tout devient noir L’esprit est cannibalisé par le cafard Jusqu'à perdre le goût de vivre Ce que l’on est ne fait que survivre. Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir Un jour ou une nuit, un matin comme un soir En tout lieu et a toute heure Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur. que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même! BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu? des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs! |