Forum Peinture à l'huile & acrylique: le travail

le travail

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casanova
le travail
Il y a 15 ans
le travail c'est la santé...vivez la maladie



a la mia amica Pierre-la luna

L’AMOUR AVEC UN GRAND A

C’est toujours le même dilemme
Le sombre éternel problème
La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines,
Et ses joies conter.
Aimer et se savoir aimer
Une chose a qui dire je t’aime
Cette chose qui fait chaud au cœur
Ce havre de paix et de bonheur
Et qu’on ne sait nommer,
O il y a bien les rêves
Mais ils partent en fumées
Même si ils sont provoqués.
Pourtant de songer on a de trêve.
La réalité est autre
N’émane qu’une fade tiédeur
De notre entourage de faux apôtres
Qui siégent à la périphérie de notre cœur.
Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié
Ou d’une étroite familiarité
Ils sont sourds aux cris
Qui émanent des abîmes de l’âme
Croyant que la vie ne nous souris
Du fait d’être on se blâme.
Ils ne savent de quelle force
On est capable d’aimer
Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser
Mais nul ne vient briser l’écorce
Qui emprisonne la puissance de nos sentiments
On a beau implorer le firmament
L’Amour avec un grand A ?
On fini par croire qu’il n’existe pas.
Il y a les aventures d’un soir
Mais elles sont encore plus riches de désespoirs
La froideur d’une maison vide
La monotonie d’un lit glacé
Des mets chauffer à même le sou vide
Ne savoir comment le temps tuer
Tel est l’apport de la solitude
Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude.
Tous ce gestes fait avec répétitivité
Qui avec le temps deviennent lascivité.
Plus rien ne suscite l’émoi
On se replie en soi.
Tout devient noir
L’esprit est cannibalisé par le cafard
Jusqu'à perdre le goût de vivre
Ce que l’on est ne fait que survivre.
Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir
Un jour ou une nuit, un matin comme un soir
En tout lieu et a toute heure
Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur.

que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même!


BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu?

des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs!

marie03
Re :le travail
Il y a 15 ans

Si tu veux remonter le moral à Pierre de lune, faut changer de disque Casa
Tes poèmes, s'ils sont très beaux, donnent le bourdon

Par contre, j'aime bien la façon de voir le travail de ton chien...
Vive la sieste !!!

Bon courage à toi, mais je sais que tu arriveras à te débarrasser de l'herbe en trois coups de cuiller à pot !!


----- casanova a écrit -----

le travail c'est la santé...vivez la maladie



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C’est toujours le même dilemme
Le sombre éternel problème
La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines,
Et ses joies conter.
Aimer et se savoir aimer
Une chose a qui dire je t’aime
Cette chose qui fait chaud au cœur
Ce havre de paix et de bonheur
Et qu’on ne sait nommer,
O il y a bien les rêves
Mais ils partent en fumées
Même si ils sont provoqués.
Pourtant de songer on a de trêve.
La réalité est autre
N’émane qu’une fade tiédeur
De notre entourage de faux apôtres
Qui siégent à la périphérie de notre cœur.
Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié
Ou d’une étroite familiarité
Ils sont sourds aux cris
Qui émanent des abîmes de l’âme
Croyant que la vie ne nous souris
Du fait d’être on se blâme.
Ils ne savent de quelle force
On est capable d’aimer
Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser
Mais nul ne vient briser l’écorce
Qui emprisonne la puissance de nos sentiments
On a beau implorer le firmament
L’Amour avec un grand A ?
On fini par croire qu’il n’existe pas.
Il y a les aventures d’un soir
Mais elles sont encore plus riches de désespoirs
La froideur d’une maison vide
La monotonie d’un lit glacé
Des mets chauffer à même le sou vide
Ne savoir comment le temps tuer
Tel est l’apport de la solitude
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Tous ce gestes fait avec répétitivité
Qui avec le temps deviennent lascivité.
Plus rien ne suscite l’émoi
On se replie en soi.
Tout devient noir
L’esprit est cannibalisé par le cafard
Jusqu'à perdre le goût de vivre
Ce que l’on est ne fait que survivre.
Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir
Un jour ou une nuit, un matin comme un soir
En tout lieu et a toute heure
Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur.

que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même!


BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu?

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bea5988
Re :le travail
Il y a 15 ans
Tu manies aussi bien les mots que les pinceaux........ Casanova : l'ART sous toutes ses facettes !
Pour ce qui est de tes mails, hélas non, je ne les reçois pas, je t'ai remis mon adresse dans un message sur ton site, tu pourras contrôler.
bisous
Béa

----- casanova a écrit -----

le travail c'est la santé...vivez la maladie



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Et ses joies conter.
Aimer et se savoir aimer
Une chose a qui dire je t’aime
Cette chose qui fait chaud au cœur
Ce havre de paix et de bonheur
Et qu’on ne sait nommer,
O il y a bien les rêves
Mais ils partent en fumées
Même si ils sont provoqués.
Pourtant de songer on a de trêve.
La réalité est autre
N’émane qu’une fade tiédeur
De notre entourage de faux apôtres
Qui siégent à la périphérie de notre cœur.
Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié
Ou d’une étroite familiarité
Ils sont sourds aux cris
Qui émanent des abîmes de l’âme
Croyant que la vie ne nous souris
Du fait d’être on se blâme.
Ils ne savent de quelle force
On est capable d’aimer
Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser
Mais nul ne vient briser l’écorce
Qui emprisonne la puissance de nos sentiments
On a beau implorer le firmament
L’Amour avec un grand A ?
On fini par croire qu’il n’existe pas.
Il y a les aventures d’un soir
Mais elles sont encore plus riches de désespoirs
La froideur d’une maison vide
La monotonie d’un lit glacé
Des mets chauffer à même le sou vide
Ne savoir comment le temps tuer
Tel est l’apport de la solitude
Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude.
Tous ce gestes fait avec répétitivité
Qui avec le temps deviennent lascivité.
Plus rien ne suscite l’émoi
On se replie en soi.
Tout devient noir
L’esprit est cannibalisé par le cafard
Jusqu'à perdre le goût de vivre
Ce que l’on est ne fait que survivre.
Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir
Un jour ou une nuit, un matin comme un soir
En tout lieu et a toute heure
Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur.

que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même!


BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu?

des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs!

m.lamour
Re :le travail
Il y a 15 ans
j'ai lu ton post déstiné à bea et je voulais te dire bravo car je sais.... que c'est dur de décrocher, pour avoir vécu une expérience similaire avec un de mes "très proches" c'était pas de lherbe mais du "liquide" le premier pas c'est de dire je veux arrêter ça apparemment tu l'as dit ensuite c'est l'aide de ses proches si tu te sens pas soutenu c'est beaucoup plus dur si t'es tout seul devant ton "problème" faut encore plus t'accrocher, faut en parler apparemment ça tu sais faire ne pas s'enfermer dans son "problème" le partager mais attention pas avec n'importe qui, et crois moi dans ce cas c'est là que tu vois tes vrais amis... courage casa penses à ceux qui t'aime ils t'en donneront
----- casanova a écrit -----

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C’est toujours le même dilemme
Le sombre éternel problème
La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines,
Et ses
joies conter.
Aimer et se savoir aimer
Une chose a qui dire je t’aime
Cette chose qui fait chaud au cœur
Ce havre de paix et de bonheur
Et qu’on ne sait nommer,
O il y a bien les rêves
Mais ils partent en fumées
Même si ils sont provoqués.
Pourtant de songer on a de trêve.
La réalité est autre
N’émane qu’une fade tiédeur
De notre entourage de faux apôtres
Qui siégent à la périphérie de notre cœur.
Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié
Ou d’une étroite familiarité
Ils sont sourds aux cris
Qui émanent des abîmes de l’âme
Croyant que la vie ne nous souris
Du fait d’être on se blâme.
Ils ne savent de quelle force
On est capable d’aimer
Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser
Mais nul ne vient briser l’écorce
Qui emprisonne la puissance de nos sentiments
On a beau implorer le firmament
L’Amour avec un grand A ?
On fini par croire qu’il n’existe pas.
Il y a les aventures d’un soir
Mais elles sont encore plus riches de désespoirs
La froideur d’une maison vide
La monotonie d’un lit glacé
Des mets chauffer à même le sou vide
Ne savoir comment le temps tuer
Tel est l’apport de la solitude
Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude.
Tous ce gestes fait avec répétitivité
Qui avec le temps deviennent lascivité.
Plus rien ne suscite l’émoi
On se replie en soi.
Tout devient noir
L’esprit est cannibalisé par le cafard
Jusqu'à perdre le goût de vivre
Ce que l’on est ne fait que survivre.
Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir
Un jour ou une nuit, un matin comme un soir
En tout lieu et a toute heure
Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur.

que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même!


BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu?

des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs!

manuela
Re :le travail
Il y a 15 ans
Ton poème Casanova et bien je l'ai imprimé et je compte le garder.
J'aimerais beaucoup avoir l'adresse de ton site. Comme je ne suis pas
tout le temps sur Superart je pense avoir loupé le post où tu l'avais mis.






----- casanova a écrit -----

le travail c'est la santé...vivez la maladie



a la mia amica Pierre-la luna

L’AMOUR AVEC UN GRAND A

C’est toujours le même dilemme
Le sombre éternel problème
La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines,
Et ses joies conter.
Aimer et se savoir aimer
Une chose a qui dire je t’aime
Cette chose qui fait chaud au cœur
Ce havre de paix et de bonheur
Et qu’on ne sait nommer,
O il y a bien les rêves
Mais ils partent en fumées
Même si ils sont provoqués.
Pourtant de songer on a de trêve.
La réalité est autre
N’émane qu’une fade tiédeur
De notre entourage de faux apôtres
Qui siégent à la périphérie de notre cœur.
Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié
Ou d’une étroite familiarité
Ils sont sourds aux cris
Qui émanent des abîmes de l’âme
Croyant que la vie ne nous souris
Du fait d’être on se blâme.
Ils ne savent de quelle force
On est capable d’aimer
Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser
Mais nul ne vient briser l’écorce
Qui emprisonne la puissance de nos sentiments
On a beau implorer le firmament
L’Amour avec un grand A ?
On fini par croire qu’il n’existe pas.
Il y a les aventures d’un soir
Mais elles sont encore plus riches de désespoirs
La froideur d’une maison vide
La monotonie d’un lit glacé
Des mets chauffer à même le sou vide
Ne savoir comment le temps tuer
Tel est l’apport de la solitude
Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude.
Tous ce gestes fait avec répétitivité
Qui avec le temps deviennent lascivité.
Plus rien ne suscite l’émoi
On se replie en soi.
Tout devient noir
L’esprit est cannibalisé par le cafard
Jusqu'à perdre le goût de vivre
Ce que l’on est ne fait que survivre.
Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir
Un jour ou une nuit, un matin comme un soir
En tout lieu et a toute heure
Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur.

que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même!


BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu?

des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs!

casanova
Re :le travail
Il y a 15 ans
Manuella..AAAH une connaisseuse en vérités. voila l'adresse ....http://casanova.forumactif.com
Bea..8 mails me sont encore revenus, j'envois sur orange est ce bien cela?
Martine, arreter, il suffit de le vouloir pour le pouvoir oui c'est bien beau mais ce n'est jamais qu'une phrase,avant tout il faut se préparer phychologiquement comme un boxeur avant le combat, un fois le premier round commencer on se rend tres vite compte d'etre seul contre soi même et ça c'est un des combats les plus dur,clou de cerceuil, bibine, et maintenant le gazon jamaicain (pour finir il ne me restera plus rien) personnage de touit les excès, je parvient tout de même a me rendre compte que tout les noeuds un jour ou l'autre viendront au peigne, et puis c'est un grande satisfaction personnelle que de gagner ces luttes contre soi.. mais surtout SURTOUT ne pas retomber c'est ça le principal..
Marie, pessimiste de nature et intèrieurement plus noir que le charbon, j'ai toujours soigné le mal par le mal c'est de loin plus efficasse que l'eau de rose, je n'essaye pas de remonter le moral a pierre-la-lune mais de lui démontrer qu'il y en a d'autre qui vivent dans les abimes de la plus apres des noirceurs, lorsque l'on voit qu'il y a bien pire que soi, c'est un bien maigre lot de consolation, mais ça fait réfléchir et ça peu soulager. pour se sortir de quelque mauvais pas que ce soit il ne faut compter que sur soi autrui peu étre une béquille de secour mais il faudra remarcher de ses propres pas un jour ou l'autre.

aller hop un autre pour Manuella, qui je le sens a bien perçus toutes les allusions qui se dissimulent entre mes phrases.
et pour ne pas changer Marie...toujours aussi noir...c'est du Casanova, l'écorché vif clownesque.

LES AMOURS MODERNES

L’évolutivité de la vie moderne
Ne met-elle l’affectivité en berne.
Que de couple, a se former ne cherchent,
Pour peu après se perdre.
Est-il devenu si mal aisé de trouver
UN être avec un semblant de sincérité ?
Enivrer par la nouvelle tripaille,
Vite on est dégrisé par le revers de la médaille.
Au début rattrapant le temps perdu
Que de septième ciel n’ont-ils connus ?
Mais la répétitivité, engendre la lascivité.
L’habitude n’étant un éternel début
Lorsque les atouts ont disparus
Cartes sur table il va falloir jouer.
On s’étonne alors que par une sangsue l’égide aie été trouée
Ou par trop d’abusivité, l’escarcelle ait été vidée.
Il aurait mieux valu, encore une fois, jouer la méfiance
Plutôt qu’à une espérance faire confiance !
De bien des maux on s’est cru soulager
On en ressort encore plus blessé…
L’un à l’autre se croira supérieur
Bientôt il emménagera à l’étage inférieur.
Les amours rafistollées
Ne sont certes l’idylle tant rêvée
Elles révèlent souvent un ou plusieurs enfants
Ou des comptes bancaires bien saignants.
Pour les nymphes ; nul apollon n’est chaussures à leurs pieds
Pour les Apollon, aucune nymphe plus ne leur sied.
Les amours nouvelles sont trop volubiles
À trop n’occulter son ressentir
On se fait passer pour débile !
Dans le dos que ne doivent-ils rire,
Quand l’intérieur fait tant souffrir.
En amitié comme en amour
Dans le besoin les cœurs deviennent sourds.
Plutôt que de vouloir tordre es cous,
N’en omettons que dépouillé de sa dermatique gabardine
Le corps humain n’est qu’une outre a merde et à urine !
Rendons nous en compte et il y aura ………moins de fous !




----- manuela a écrit -----

Ton poème Casanova et bien je l'ai imprimé et je compte le garder.
J'aimerais beaucoup avoir l'adresse de ton site. Comme je ne suis pas
tout le temps sur Superart je pense avoir loupé le post où tu l'avais mis.






----- casanova a écrit -----

le travail c'est la santé...vivez la maladie



a la mia amica Pierre-la luna

L’AMOUR AVEC UN GRAND A

C’est toujours le même dilemme
Le sombre éternel problème
La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines,
Et ses joies conter.
Aimer et se savoir aimer
Une chose a qui dire je t’aime
Cette chose qui fait chaud au cœur
Ce havre de paix et de bonheur
Et qu’on ne sait nommer,
O il y a bien les rêves
Mais ils partent en fumées
Même si ils sont provoqués.
Pourtant de songer on a de trêve.
La réalité est autre
N’émane qu’une fade tiédeur
De notre entourage de faux apôtres
Qui siégent à la périphérie de notre cœur.
Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié
Ou d’une étroite familiarité
Ils sont sourds aux cris
Qui émanent des abîmes de l’âme
Croyant que la vie ne nous souris
Du fait d’être on se blâme.
Ils ne savent de quelle force
On est capable d’aimer
Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser
Mais nul ne vient briser l’écorce
Qui emprisonne la puissance de nos sentiments
On a beau implorer le firmament
L’Amour avec un grand A ?
On fini par croire qu’il n’existe pas.
Il y a les aventures d’un soir
Mais elles sont encore plus riches de désespoirs
La froideur d’une maison vide
La monotonie d’un lit glacé
Des mets chauffer à même le sou vide
Ne savoir comment le temps tuer
Tel est l’apport de la solitude
Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude.
Tous ce gestes fait avec répétitivité
Qui avec le temps deviennent lascivité.
Plus rien ne suscite l’émoi
On se replie en soi.
Tout devient noir
L’esprit est cannibalisé par le cafard
Jusqu'à perdre le goût de vivre
Ce que l’on est ne fait que survivre.
Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir
Un jour ou une nuit, un matin comme un soir
En tout lieu et a toute heure
Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur.

que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même!


BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu?

des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs!

manuela
Re :le travail
Il y a 15 ans
Merci Casanova


----- casanova a écrit -----

Manuella..AAAH une connaisseuse en vérités. voila l'adresse ....http://casanova.forumactif.com
Bea..8 mails me sont encore revenus, j'envois sur orange est ce bien cela?
Martine, arreter, il suffit de le vouloir pour le pouvoir oui c'est bien beau mais ce n'est jamais qu'une phrase,avant tout il faut se préparer phychologiquement comme un boxeur avant le combat, un fois le premier round commencer on se rend tres vite compte d'etre seul contre soi même et ça c'est un des combats les plus dur,clou de cerceuil, bibine, et maintenant le gazon jamaicain (pour finir il ne me restera plus rien) personnage de touit les excès, je parvient tout de même a me rendre compte que tout les noeuds un jour ou l'autre viendront au peigne, et puis c'est un grande satisfaction personnelle que de gagner ces luttes contre soi.. mais surtout SURTOUT ne pas retomber c'est ça le principal..
Marie, pessimiste de nature et intèrieurement plus noir que le charbon, j'ai toujours soigné le mal par le mal c'est de loin plus efficasse que l'eau de rose, je n'essaye pas de remonter le moral a pierre-la-lune mais de lui démontrer qu'il y en a d'autre qui vivent dans les abimes de la plus apres des noirceurs, lorsque l'on voit qu'il y a bien pire que soi, c'est un bien maigre lot de consolation, mais ça fait réfléchir et ça peu soulager. pour se sortir de quelque mauvais pas que ce soit il ne faut compter que sur soi autrui peu étre une béquille de secour mais il faudra remarcher de ses propres pas un jour ou l'autre.

aller hop un autre pour Manuella, qui je le sens a bien perçus toutes les allusions qui se dissimulent entre mes phrases.
et pour ne pas changer Marie...toujours aussi noir...c'est du Casanova, l'écorché vif clownesque.

LES AMOURS MODERNES

L’évolutivité de la vie moderne
Ne met-elle l’affectivité en berne.
Que de couple, a se former ne cherchent,
Pour peu après se perdre.
Est-il devenu si mal aisé de trouver
UN être avec un semblant de sincérité ?
Enivrer par la nouvelle tripaille,
Vite on est dégrisé par le revers de la médaille.
Au début rattrapant le temps perdu
Que de septième ciel n’ont-ils connus ?
Mais la répétitivité, engendre la lascivité.
L’habitude n’étant un éternel début
Lorsque les atouts ont disparus
Cartes sur table il va falloir jouer.
On s’étonne alors que par une sangsue l’égide aie été trouée
Ou par trop d’abusivité, l’escarcelle ait été vidée.
Il aurait mieux valu, encore une fois, jouer la méfiance
Plutôt qu’à une espérance faire confiance !
De bien des maux on s’est cru soulager
On en ressort encore plus blessé…
L’un à l’autre se croira supérieur
Bientôt il emménagera à l’étage inférieur.
Les amours rafistollées
Ne sont certes l’idylle tant rêvée
Elles révèlent souvent un ou plusieurs enfants
Ou des comptes bancaires bien saignants.
Pour les nymphes ; nul apollon n’est chaussures à leurs pieds
Pour les Apollon, aucune nymphe plus ne leur sied.
Les amours nouvelles sont trop volubiles
À trop n’occulter son ressentir
On se fait passer pour débile !
Dans le dos que ne doivent-ils rire,
Quand l’intérieur fait tant souffrir.
En amitié comme en amour
Dans le besoin les cœurs deviennent sourds.
Plutôt que de vouloir tordre es cous,
N’en omettons que dépouillé de sa dermatique gabardine
Le corps humain n’est qu’une outre a merde et à urine !
Rendons nous en compte et il y aura ………moins de fous !




----- manuela a écrit -----

Ton poème Casanova et bien je l'ai imprimé et je compte le garder.
J'aimerais beaucoup avoir l'adresse de ton site. Comme je ne suis pas
tout le temps sur Superart je pense avoir loupé le post où tu l'avais mis.






----- casanova a écrit -----

le travail c'est la santé...vivez la maladie



a la mia amica Pierre-la luna

L’AMOUR AVEC UN GRAND A

C’est toujours le même dilemme
Le sombre éternel problème
La souffrance de n’avoir quelqu’un a qui ses peines,
Et ses joies conter.
Aimer et se savoir aimer
Une chose a qui dire je t’aime
Cette chose qui fait chaud au cœur
Ce havre de paix et de bonheur
Et qu’on ne sait nommer,
O il y a bien les rêves
Mais ils partent en fumées
Même si ils sont provoqués.
Pourtant de songer on a de trêve.
La réalité est autre
N’émane qu’une fade tiédeur
De notre entourage de faux apôtres
Qui siégent à la périphérie de notre cœur.
Qu’ils soient d’une chaleureuse amitié
Ou d’une étroite familiarité
Ils sont sourds aux cris
Qui émanent des abîmes de l’âme
Croyant que la vie ne nous souris
Du fait d’être on se blâme.
Ils ne savent de quelle force
On est capable d’aimer
Comme le bonheur pourrait nous métamorphoser
Mais nul ne vient briser l’écorce
Qui emprisonne la puissance de nos sentiments
On a beau implorer le firmament
L’Amour avec un grand A ?
On fini par croire qu’il n’existe pas.
Il y a les aventures d’un soir
Mais elles sont encore plus riches de désespoirs
La froideur d’une maison vide
La monotonie d’un lit glacé
Des mets chauffer à même le sou vide
Ne savoir comment le temps tuer
Tel est l’apport de la solitude
Cette compagne dont on ne se fera jamais habitude.
Tous ce gestes fait avec répétitivité
Qui avec le temps deviennent lascivité.
Plus rien ne suscite l’émoi
On se replie en soi.
Tout devient noir
L’esprit est cannibalisé par le cafard
Jusqu'à perdre le goût de vivre
Ce que l’on est ne fait que survivre.
Mais il y a toujours cette petite lueur d’espoir
Un jour ou une nuit, un matin comme un soir
En tout lieu et a toute heure
Il y a bien pour nous aussi…un peu de bonheur.

que de vérité....aaah quel phénomène, Casanova tout de même!


BEA. avec ta nouvelle adresse tout mes mails reviennent, les reçois tu?

des nouvelles du front; le sevrage canabique, ça fait 5 jours l'envie physique de fumer s'aténue peu a peu, les attaques sont beaucoup moins fortes. pour le coté psychologique...j'ai la peinture. encore une quinzaine de jours et trente années de fumette seront oubliées... le tabac très chers kamarades c'est pas la même chose il faut compter 8 bons mois a grimper aux murs pour en être débarassé. une fois qu'on peu dire vade retro nicotine ben on a gagnè entre 10 et 20 kg avis aux fimeurs!


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