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casanova | silence on tourne Il y a 15 ans |
faite moins de bruit il dort. to my kameraten Pierre-la-lune... NUITEE Par quelques douleurs physique, Le repos est abrégé. Tout comme le noir est broyé Par les tortures psychologiques. Mes nuits sont écourtées. Mon ange de douceur Repose, bercée par la douce chaleur. Que dégage une belle flambée Cahier, plume, café et narghilé, Le trousseau de l’écrivain solitaire, tout y est ! Une bougie qui agonise en ce mouroir Que lui devient le bougeoir L’avant morte saison va courant Les heures de lumières sont rapetissées. L’aube tarde à poindre Les matinaux larbins vont se pressant Pour leurs lieux de servitude rejoindre. La voix du silence en est disturbée. Par les flammèches obnubilé Me noyant dans mes pensées, Je refais le procès de mes amitiés dépassées. Que de notre bonté n’ont-ils profités ? De notre liberté, rongé par la jalousie De notre bonheur, dévoré par l’envie La solitude de la nuit porte conseil On y découvre horreurs et merveilles. Le cœur des ténèbres Tout comme le lieu où l’on se soulage de son bien être, Ces lieux, ou on porte son vrai visage On s’y perd en méditations On pilorifie sans rémission, Les gueules non trop aimées On canonise les idoles prônées. On se fait juge, défenseur et accusateur. De l’humaine fréquentation on se fait délateur. On revit des erreurs passées Qui aux neuves sont parangonnées. Il ne faut vivre dans le passé ! Ce qui est derrière est dépassé. Tel que court le temps Il faut vivre avec son temps. Les noires heures de la solitude Me deviendront-elles habitudes ? A BIENTÔT …MOI ! Je remets mon masque Pour combler un jour, encore, de mes frasques. |
camille22 | Re :silence on tourne Il y a 15 ans |
quelle production, vraiment, dommage que je ne puisse tout lire vous écrivez aussi ? ----- casanova a écrit ----- faite moins de bruit il dort. to my kameraten Pierre-la-lune... NUITEE Par quelques douleurs physique, Le repos est abrégé. Tout comme le noir est broyé Par les tortures psychologiques. Mes nuits sont écourtées. Mon ange de douceur Repose, bercée par la douce chaleur. Que dégage une belle flambée Cahier, plume, café et narghilé, Le trousseau de l’écrivain solitaire, tout y est ! Une bougie qui agonise en ce mouroir Que lui devient le bougeoir L’avant morte saison va courant Les heures de lumières sont rapetissées. L’aube tarde à poindre Les matinaux larbins vont se pressant Pour leurs lieux de servitude rejoindre. La voix du silence en est disturbée. Par les flammèches obnubilé Me noyant dans mes pensées, Je refais le procès de mes amitiés dépassées. Que de notre bonté n’ont-ils profités ? De notre liberté, rongé par la jalousie De notre bonheur, dévoré par l’envie La solitude de la nuit porte conseil On y découvre horreurs et merveilles. Le cœur des ténèbres Tout comme le lieu où l’on se soulage de son bien être, Ces lieux, ou on porte son vrai visage On s’y perd en méditations On pilorifie sans rémission, Les gueules non trop aimées On canonise les idoles prônées. On se fait juge, défenseur et accusateur. De l’humaine fréquentation on se fait délateur. On revit des erreurs passées Qui aux neuves sont parangonnées. Il ne faut vivre dans le passé ! Ce qui est derrière est dépassé. Tel que court le temps Il faut vivre avec son temps. Les noires heures de la solitude Me deviendront-elles habitudes ? A BIENTÔT …MOI ! Je remets mon masque Pour combler un jour, encore, de mes frasques. |
casanova | Re :silence on tourne Il y a 15 ans |
peinture, écriture, papier maché, pamphlet provocateurs, cuisine (qui est art aussi) toutes ces choses me sont moyen d'expression et d'extèriorisation. ( ----- camille22 a écrit ----- quelle production, vraiment, dommage que je ne puisse tout lire vous écrivez aussi ? ----- casanova a écrit ----- faite moins de bruit il dort. to my kameraten Pierre-la-lune... NUITEE Par quelques douleurs physique, Le repos est abrégé. Tout comme le noir est broyé Par les tortures psychologiques. Mes nuits sont écourtées. Mon ange de douceur Repose, bercée par la douce chaleur. Que dégage une belle flambée Cahier, plume, café et narghilé, Le trousseau de l’écrivain solitaire, tout y est ! Une bougie qui agonise en ce mouroir Que lui devient le bougeoir L’avant morte saison va courant Les heures de lumières sont rapetissées. L’aube tarde à poindre Les matinaux larbins vont se pressant Pour leurs lieux de servitude rejoindre. La voix du silence en est disturbée. Par les flammèches obnubilé Me noyant dans mes pensées, Je refais le procès de mes amitiés dépassées. Que de notre bonté n’ont-ils profités ? De notre liberté, rongé par la jalousie De notre bonheur, dévoré par l’envie La solitude de la nuit porte conseil On y découvre horreurs et merveilles. Le cœur des ténèbres Tout comme le lieu où l’on se soulage de son bien être, Ces lieux, ou on porte son vrai visage On s’y perd en méditations On pilorifie sans rémission, Les gueules non trop aimées On canonise les idoles prônées. On se fait juge, défenseur et accusateur. De l’humaine fréquentation on se fait délateur. On revit des erreurs passées Qui aux neuves sont parangonnées. Il ne faut vivre dans le passé ! Ce qui est derrière est dépassé. Tel que court le temps Il faut vivre avec son temps. Les noires heures de la solitude Me deviendront-elles habitudes ? A BIENTÔT …MOI ! Je remets mon masque Pour combler un jour, encore, de mes frasques. |