Forum Dessin, Pastel: degas

degas

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praxi
degas
Il y a 17 ans
Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.
1815
Re :degas
Il y a 17 ans
Salut praxi,

C'est un excellent crobard. Pour Raphaël tu as mal vu : regarde !


----- praxi a écrit -----

Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.

praxi
Re :degas
Il y a 17 ans
Bonsoir 1815,

Tu as raison j’ai tout faux. La mise au point est d’ailleurs faite sur ces troublants regards.

Ma tête tourne quand je tombe sur le regard de balthazar.

----- 1815 a écrit -----

Salut praxi,

C'est un excellent crobard. Pour Raphaël tu as mal vu : regarde !


----- praxi a écrit -----

Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.

1815
Re :degas
Il y a 17 ans
En l'occurrence nous sommes les héritiers de Baltassar Castiglione ( le traité sur "le Courtisan") et d'Erasme, (" la civilité puérile", et dont le portrait ne figure pas dans cette microscopique galerie). Ces gens avaient un regard aigü sur leur époque. Les peintres ont suivi ... Mais je pense, et tu n'en disconviendra pas, Léonard de Vinci se profile derrière tous ces regards.

Bonne soirée.


----- praxi a écrit -----

Bonsoir 1815,

Tu as raison j’ai tout faux. La mise au point est d’ailleurs faite sur ces troublants regards.

Ma tête tourne quand je tombe sur le regard de balthazar.

----- 1815 a écrit -----

Salut praxi,

C'est un excellent crobard. Pour Raphaël tu as mal vu : regarde !


----- praxi a écrit -----

Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.

praxi
Re :degas
Il y a 17 ans
Héritier d’Erasme et de Baltassar ? Je note une nette tendance à l’idéalisation. Fais gaffe…

Quand à léonard, j’ai souvent le sentiment que c’est le moins stylé des dessinateurs de l’époque tellement on n’y retrouve tous ses prédécesseurs et contemporains.

----- 1815 a écrit -----

En l'occurrence nous sommes les héritiers de Baltassar Castiglione ( le traité sur "le Courtisan") et d'Erasme, (" la civilité puérile", et dont le portrait ne figure pas dans cette microscopique galerie). Ces gens avaient un regard aigü sur leur époque. Les peintres ont suivi ... Mais je pense, et tu n'en disconviendra pas, Léonard de Vinci se profile derrière tous ces regards.

Bonne soirée.


----- praxi a écrit -----

Bonsoir 1815,

Tu as raison j’ai tout faux. La mise au point est d’ailleurs faite sur ces troublants regards.

Ma tête tourne quand je tombe sur le regard de balthazar.

----- 1815 a écrit -----

Salut praxi,

C'est un excellent crobard. Pour Raphaël tu as mal vu : regarde !


----- praxi a écrit -----

Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.

1815
Re :degas
Il y a 17 ans
Mais surtout, on y retrouve les successeurs :-). Pas partout, c'est vrai !


ps : j'ai pour ma part une sainte horreur des sulpteurs grecs ( d'ailleurs tout ce qu'ils nous ont laissé, ou presque, est de facture romaine ( la peinture s'est effacée avec le temps :-)

Quand à mes tendances à l'idéalisme ... Tu va prendre une baffe;-)

A bientôt Praxi (attelle:/).

----- praxi a écrit -----

Héritier d’Erasme et de Baltassar ? Je note une nette tendance à l’idéalisation. Fais gaffe…

Quand à léonard, j’ai souvent le sentiment que c’est le moins stylé des dessinateurs de l’époque tellement on n’y retrouve tous ses prédécesseurs et contemporains.

----- 1815 a écrit -----

En l'occurrence nous sommes les héritiers de Baltassar Castiglione ( le traité sur "le Courtisan") et d'Erasme, (" la civilité puérile", et dont le portrait ne figure pas dans cette microscopique galerie). Ces gens avaient un regard aigü sur leur époque. Les peintres ont suivi ... Mais je pense, et tu n'en disconviendra pas, Léonard de Vinci se profile derrière tous ces regards.

Bonne soirée.


----- praxi a écrit -----

Bonsoir 1815,

Tu as raison j’ai tout faux. La mise au point est d’ailleurs faite sur ces troublants regards.

Ma tête tourne quand je tombe sur le regard de balthazar.

----- 1815 a écrit -----

Salut praxi,

C'est un excellent crobard. Pour Raphaël tu as mal vu : regarde !


----- praxi a écrit -----

Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.

praxi
Re :degas
Il y a 17 ans
Je comprends la sainteté de ton horreur mais l’hédonisme des grecs nous a permis de reluquer à toutes les époques des épidermes que la pudeur catholique aurait certainement voilés. Ils ont éduqué notre regard sur le corps. Avant eux, on était un tronc avec quatre membres, on ne savait pas se tenir debout ni assis. Entre Praxitèle et Rodin, il ne s’est rien passé (soyons définitif!).

Pour la petite histoire, j’ai choisis l’école laborieuse du dessin en débutant par des reproductions de platre à la mode Bargue. Le « Praxi » est plus révélateur de mes préoccupations terre-à-terre du moment qu’un credo artistique.

La peinture sur le marbre c’était sans doute moche. Les romains n’avaient aucun goût.

----- 1815 a écrit -----

Mais surtout, on y retrouve les successeurs :-). Pas partout, c'est vrai !


ps : j'ai pour ma part une sainte horreur des sulpteurs grecs ( d'ailleurs tout ce qu'ils nous ont laissé, ou presque, est de facture romaine ( la peinture s'est effacée avec le temps :-)

Quand à mes tendances à l'idéalisme ... Tu va prendre une baffe;-)

A bientôt Praxi (attelle:/).

----- praxi a écrit -----

Héritier d’Erasme et de Baltassar ? Je note une nette tendance à l’idéalisation. Fais gaffe…

Quand à léonard, j’ai souvent le sentiment que c’est le moins stylé des dessinateurs de l’époque tellement on n’y retrouve tous ses prédécesseurs et contemporains.

----- 1815 a écrit -----

En l'occurrence nous sommes les héritiers de Baltassar Castiglione ( le traité sur "le Courtisan") et d'Erasme, (" la civilité puérile", et dont le portrait ne figure pas dans cette microscopique galerie). Ces gens avaient un regard aigü sur leur époque. Les peintres ont suivi ... Mais je pense, et tu n'en disconviendra pas, Léonard de Vinci se profile derrière tous ces regards.

Bonne soirée.


----- praxi a écrit -----

Bonsoir 1815,

Tu as raison j’ai tout faux. La mise au point est d’ailleurs faite sur ces troublants regards.

Ma tête tourne quand je tombe sur le regard de balthazar.

----- 1815 a écrit -----

Salut praxi,

C'est un excellent crobard. Pour Raphaël tu as mal vu : regarde !


----- praxi a écrit -----

Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.

1815
Re :degas
Il y a 17 ans
Des épidermes bien lisses et des canôns bien pesants. Je préfère, et de loin, le réalisme romain. Mais c'est affaire de goût et tu connais certainement mieux que moi.

A propos, comment ça les romains n'avaient aucun goût ? Va faire un tour au musée de Naples et on en reparle ;-)

ps : je voulais dire que toutes les sculptures dans l'antiquité étaient peintes.


----- praxi a écrit -----

Je comprends la sainteté de ton horreur mais l’hédonisme des grecs nous a permis de reluquer à toutes les époques des épidermes que la pudeur catholique aurait certainement voilés. Ils ont éduqué notre regard sur le corps. Avant eux, on était un tronc avec quatre membres, on ne savait pas se tenir debout ni assis. Entre Praxitèle et Rodin, il ne s’est rien passé (soyons définitif!).

Pour la petite histoire, j’ai choisis l’école laborieuse du dessin en débutant par des reproductions de platre à la mode Bargue. Le « Praxi » est plus révélateur de mes préoccupations terre-à-terre du moment qu’un credo artistique.

La peinture sur le marbre c’était sans doute moche. Les romains n’avaient aucun goût.

----- 1815 a écrit -----

Mais surtout, on y retrouve les successeurs :-). Pas partout, c'est vrai !


ps : j'ai pour ma part une sainte horreur des sulpteurs grecs ( d'ailleurs tout ce qu'ils nous ont laissé, ou presque, est de facture romaine ( la peinture s'est effacée avec le temps :-)

Quand à mes tendances à l'idéalisme ... Tu va prendre une baffe;-)

A bientôt Praxi (attelle:/).

----- praxi a écrit -----

Héritier d’Erasme et de Baltassar ? Je note une nette tendance à l’idéalisation. Fais gaffe…

Quand à léonard, j’ai souvent le sentiment que c’est le moins stylé des dessinateurs de l’époque tellement on n’y retrouve tous ses prédécesseurs et contemporains.

----- 1815 a écrit -----

En l'occurrence nous sommes les héritiers de Baltassar Castiglione ( le traité sur "le Courtisan") et d'Erasme, (" la civilité puérile", et dont le portrait ne figure pas dans cette microscopique galerie). Ces gens avaient un regard aigü sur leur époque. Les peintres ont suivi ... Mais je pense, et tu n'en disconviendra pas, Léonard de Vinci se profile derrière tous ces regards.

Bonne soirée.


----- praxi a écrit -----

Bonsoir 1815,

Tu as raison j’ai tout faux. La mise au point est d’ailleurs faite sur ces troublants regards.

Ma tête tourne quand je tombe sur le regard de balthazar.

----- 1815 a écrit -----

Salut praxi,

C'est un excellent crobard. Pour Raphaël tu as mal vu : regarde !


----- praxi a écrit -----

Gribouillage d’après Degas. Il s’agirait d’une étude d’après Raphaël mais je n’ai trouvé aucune trace de l’original. C’est dommage car j’aurais bien aimé comprendre où Degas a pu trouver un tel regard chez un personnage de Raphaël.


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